Quand tu étais petit.e, tu rêvais de devenir astronaute, chevalier.e ou sorcier.e

Parce que les limites de notre planète et de notre réalité ne te suffisaient pas.

Tu t’es mis à lire les histoires d’écrivains et écrivaines qui se sont projeté plus loin que les autres.

Page après page, ils ont repoussé les limites de ton imagination.

Livre après livre, ils t’ont emporté dans des univers dont tu n’as plus voulu ressortir.

Puis un jour, tu as ressenti le sens du merveilleux

Un sentiment de vertige absolu, à la fois libérateur et oppressant, face à l’infini et à l’éternité représentés dans une histoire.

Aussi puissant qu’un big bang, il est pourtant né lui aussi d’une petite chose insignifiante : quelques lignes d’écriture sur une feuille de papier.

C’est peut-être à ce moment-là que tu as décidé de te mettre à écrire tes propres histoires.

C’est peut-être à ce moment-là que tu as décidé de franchir la SFFF Zone.

Le premier héros d’une histoire, c’est celui qui l’écrit

Comme tous les écrivains, ton travail sera solitaire et laborieux.

A cette différence près que dans l’imaginaire, tu dois tout inventer. Pas seulement les personnages, mais aussi l’univers dans lequel ils évoluent.

Ainsi que les règles qui régissent cet univers. Parfois même la science qui définit ces règles.

Ce qui signifie que pour réussir, un écrivain de l’imaginaire doit être à la fois un créatif visionnaire, un conteur de talent et un documentaliste rigoureux.

Trois personnalités en apparence incompatibles.

Forcément, avec un tel fardeau, il est facile de se décourager

L’écriture te prend trop de temps. La motivation disparaît. La vie t’emporte dans son sillage.

Si tu as la chance de publier quelque chose, tu ne vois jamais tes lecteurs s’émerveiller en lisant tes histoires.

Et tu apprends vite qu’il te faudra des mois voire des années avant de récolter le fruit de ton labeur.

Rompre le silence qui étouffe l’imaginaire

SFFF Zone t’aide à t’assumer en tant qu’écrivain, même si tu n’es pas publié, même si tu n’es pas encore auteur.

Tu dois affirmer à la face du monde que l’imaginaire n’est pas un truc de gamins réservé aux fans de Star Wars et Harry Potter.

Tu dois rappeler à tous que l’imaginaire est la seule littérature qui n’existe pas seulement pour distraire, mais aussi pour faire réfléchir.

Rompre avec la solitude de l’écrivain

L’imaginaire, ce n’est pas qu’une fille ou un garçon seul.e devant son ordinateur ou plongé.e dans un livre.

Ce sont des centaines d’auteurs qui se cassent la tête pour produire des histoires extraordinaires.

Ce sont des milliers de professionnels qui les accompagnent dans l’ombre.

Ce sont des millions de lecteurs, de cinéphiles, de joueurs et de fans qui en attendent toujours plus pour épancher leur soif d’évasion.

Rompre avec les difficultés qui t’épuisent

Tu es peut-être meilleur rêveur que conteur. Meilleur conteur que documentaliste. Meilleur documentaliste que rêveur.

Il est si difficile d’être bon partout. Il est si difficile de mettre d’accord ces trois personnalités.

Pour les satisfaire toutes les trois, tu as besoin de motivation, d’inspiration et de méthode, et c’est ce que tu trouveras sur SFFF Zone.

Il existe cependant quelque chose que tu n’y trouveras pas.

Un écrivain de l’imaginaire n’a pas trois personnalités mais quatre

Cette quatrième personnalité fait le lien entre les trois autres. Elle te surpasse. Elle t’anime.

C’est elle qui te faire ressentir le sens du merveilleux lorsque tu lis un livre. Qui te fait te poser des questions sur l’univers qui t’entoure. Qui te fait lever les yeux vers les étoiles en imaginant ce qui peut s’y passer.

C’est cette personnalité, enfin, qui fait que tu t’acharnes, jour après jour, nuit après nuit, sur les histoires que tu écris, malgré les difficultés et l’adversité.

Cette quatrième personnalité, c’est l’astronaute, le chevalier ou le sorcier que tu imaginais être quand tu lisais leurs histoires.

Ils sont toujours là. Il ne t’ont jamais quitté.